Je me suis offert pour Noël Plug anal métal permanent qui peut s’ouvrir. J’ai essayé de rester ouvert toute une nuit avec une couche. J’ai eu de petites fuites, le souci a été qu’un plug au bout d’un moment cela pousse mais c’était bien. Comme j’aime bien les lavements, j’ai eu envie d’inventer un scénario de selfbondage associant lavement et ce plug.

Mon plan :

Insérer le tuyau (que j’ai rallongé) dans le plug anal métal permanent. Ensuite, je l’ai bloqué avec un peu de pâte à modeler.

Faire deux ice-timer. Un petit d’une durée d’une demi-heure environs un plus gros d’une durée d’une heure environs.

Me faire un collier avec une chaîne pour bloquer mes menottes à mon cou. J’ai laissé les clés du collier dans la cuisine.

Une chaîne attachée à ma taille et au radiateur puis un cadenas pour m’obliger à attendre que bocal à lavement soit vide.

Une couche renforcée avec du scotch car ramper avec la déchire.

Renforcer l’attache du bocal à lavement et surtout le tuyau pour qu’il ne s’arrache pas. Avec du gros scotch cela marche.

Mon but était d’être obligé de tirer sur le tuyau du lavement qui était dans mes fesses pour pouvoir ramper et aller chercher les clés de mes menottes. Là, je n’aurai pas le choix que de me vider dans la couche.

Réalisation :

Les ice-timer étaient prêts, le bocal à lavement contenait un litre d’eau. Il était fixé solidement ainsi que le tuyau sur le radiateur. J’avais mis le collier de chaîne.

Avant de jouer, je m’étais fait un petit lavement pour éviter les gros désagréments.

J’ai commencé à mettre le Plug anal métal permanent avec le tuyau et la pâte à modeler bouchant le trou, puis une couche que j’ai renforcée avec du scotch.

Je me suis fait une ceinture de chaîne et attaché au radiateur. Par sécurité, j’ai fixé la ficelle des clés au cadenas en faisant attention où je mettais le cadenas car une fois les poignets menottés à mon cou, je ne pourrai pas arriver facilement à ma taille.

J’ai attaché mes chevilles avec des bracelets qui se cadenassent, les clés étaient aussi dans la cuisine.

J’ai ouvert le robinet du bocal à lavement et j’ai rapidement verrouillé mes poignets à mon cou car je commençais à hésiter.

L’eau c’est écoulée lentement en moi. Quand j’ai senti comme des crampes dans le ventre, j’ai bougé un peu et c’est passé. Au bout d’un moment, je commençais à avoir froid. J’aurais du prévoir un pull plutôt qu’un tee-shirt.

Un gros pipi plus tard, quand le ice-timer a fondu, j’ai pu facilement ouvrir le cadenas mais je n’arrivais pas à libérer ma taille. J’ai commencé à me dire que cela allait être plus long que prévu. Finalement, j’ai pu me libérer du radiateur, j’allais pouvoir ramper pour aller au second ice-timer posé dans ma véranda.

L’heure venais de sonner du popo couche ! Enfin, façon de parler puisque je m’étais lavé avant. Cela ne devait être que de l’eau. Quand j’ai commencé à ramper pour avancer, comme prévu cela a tiré sur le tuyau. La pâte à modeler résistait, le tuyau ne s’arrachait pas de mon Plug anal métal permanent. Avec insistance et l’aide de mes mains après avoir fait un demi-tour, il est venu d’un coup. Il ne s’est rien passé. La pâte à modeler ne devait pas laisser passer grand chose. Finalement, cela m’a rassuré je l’avoue. J’ai donc recommencer à ramper. C’est en passant la petite marche de la véranda que je me suis un peu cassé la figure. Et là, d’un seul coup, j’ai senti de la chaleur sur mes fesses. En tombant, cela avait du faire de la pression, la pâte à modeler avait cédé. Cela m’a fait tout drôle de sentir cette chaleur soudaine. Cette fois, par mon stratagème, j’étais allé au bout d’un pseudo popo couche que je n’avais jamais fait.

Comme il faisait froid par terre, je me suis assis. En m’essayant sur la couche....., le liquide c’est dispersé. Je n’étais pas très fier et craignait le pire. Le ice-timer a fini par me donner les clés, j’ai pu libérer mes mains facilement. Ayant toujours un peu froid, je me suis levé et à petits pas cheville contre cheville, je suis rentré dans la maison en détestant la petite marche que j’ai du franchir en sautillant, la couche a soudain menacé de céder. J’ai fait le reste du trajet jusqu’à la cuisine en tenant la couche.

Bonne nouvelle, ma couche était quasiment propre, hormis bien sûr mon urine et l’eau du lavement. La prochaine fois, je mettrai plus d’eau en remplissant le bocal une seconde fois avant de m’entraver et j’attacherai mes mains dans le dos en faisant une culotte en corde pour maintenir les menottes. Cela sera plus « sportif ».